Emily Ratajkowski a annoncé qu’elle était enceinte de son premier enfant, mais ne voulait pas révéler le sexe du bébé. 5u4l3x
Dans un essai personnel publié par Vogue, Ratajkowski a discuté de ses sentiments sur le sexe et l’identité de son enfant à naître.
Elle a expliqué que lorsque son mari et elle disent à des amis qu’elle est enceinte, ils sont immédiatement confrontés à des questions sur le sexe du bébé.
«Nous aimons répondre que nous ne connaîtrons pas le sexe avant l’âge de 18 ans et qu’ils nous le feront savoir alors», a-t-elle écrit.
«Tout le monde en rit. Il y a une vérité dans notre lignée, cependant, qui fait allusion à des possibilités beaucoup plus complexes que les organes génitaux avec lesquels notre enfant pourrait naître: la vérité dont nous n’avons finalement aucune idée. qui – plutôt que quoi – grandit dans mon ventre.
La mannequin et comédienne a déclaré que bien qu’elle veuille imposer «le moins de stéréotypes de genre possible à mon enfant», elle comprend «le désir de connaître le sexe de notre fœtus».
«C’est la première véritable opportunité de voir qui ils pourraient être», a-t-elle déclaré. «Alors que mon corps change de manière étrange et inconnue, il est réconfortant d’obtenir des informations qui pourraient rendre ce qui va arriver plus réel.»
Emily Ratajkowski est enceinte de 20 semaines. 331d5m
À 20 semaines de grossesse, Emily Ratajkowski a déjà été bombardée d’attentes concernant le sexe de son bébé.
«Selon des amis et des étrangers, même ma grossesse elle-même semble être affectée par le sexe de mon enfant», a-t-elle déclaré.
«Où je vais porter (les garçons sont bas! Les filles s’assoient plus haut et vous rendent malade au premier trimestre!), Ce que je veux manger (envie de sucreries signifie une fille!), Et même ce qui m’excitera (porter un garçon signifie plus une libido!).
«Un maquilleur applique du mascara sur mes yeux alors qu’il me dit que porter une fille enlève la beauté de la mère.»
Mais Ratajkowski a écrit: «Je n’aime pas que nous imposions des préjugés sexistes aux gens, sans parler des bébés.
«Je veux être un parent qui permette à mon enfant de se montrer à moi… Je n’essaie pas d’imaginer une couverture rose ou bleue dans mes bras. Je suis trop humble pour avoir de fausses notions de contrôle.
«Je suis complètement et indéniablement impuissant face à presque tout ce qui entoure ma grossesse: comment mon corps va changer, qui sera mon enfant. Mais je ne suis étonnamment pas dérangé.
«Au lieu d’avoir peur, je ressens un nouveau sentiment de paix. J’apprends déjà de cette personne à l’intérieur de mon corps. Je suis émerveillé.
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